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Nous contacterPour commencer son travail sur un véhicule accidenté, le carrossier / la carrossière établit un premier diagnostic des réparations à effectuer après examen des dégâts.
Lors d’une réparation soumise à assurance, le garagiste doit attendre la visite de l’expert automobile qui donne l’ordre d’effectuer la remise à neuf du véhicule. Cette réparation suit les normes du constructeur et le carrossier est responsable de la qualité du travail rendu.
Le carrossier / la carrossière n’exerce plus de façon traditionnelle. Aujourd’hui, le débosselage, le planage, le redressage puis le remodelage s’effectuent rarement pour des accrocs sur la carrosserie. Il s’agit souvent - si cela s’avère plus avantageux financièrement - de remplacer une pièce de carrosserie abîmée.
Le métier de carrossier/carrossière évolue grâce aux progrès techniques et le carrossier / la carrossière utilise des outils de haute technicité comme le banc de mesure au laser.
Le travail est souvent bruyant et les horaires variables. Le carrossier / la carrossière réparateur(trice) travaille dans des locaux qui doivent être ventilés en raison de la nocivité des produits utilisés. La station debout est la plus fréquente.
Ce métier demande aussi des connaissances en électricité, mécanique et électronique.
Ou suis-je fait pour ce métier ?
Tout public
Salarié sous contrat d’apprentissage ou de professionnalisation
Être capable, au sein d’une équipe de tout type d’entreprise de réparation des carrosseries de véhicules automobiles de :
inscrits au référentiel du Bac Pro Réparation des carrosseries
02 37 91 66 82
06 43 26 21 86
david.walck@cfainterpro-28.frTaux de réussite 2022 | 100 % | soit un ratio de 6 candidats sur 6 présents |
Taux de réussite 2021 | 100 % | soit un ratio de 5 candidats sur 5 présents |
Taux de réussite 2020 | 100 % | soit un ratio de 2 candidats sur 2 présents |
À l’issue des épreuves 2021 | 100 % des apprentis sont en activité | 0 % des apprentis sont sans activité |
À l’issue des épreuves 2020 | 75 % des apprentis sont en activité | 25 % des apprentis sont sans activité |
À l’issue des épreuves 2019 | 100 % des apprentis sont en activité | 0 % des apprentis sont sans activité |
Taux de poursuite de formation en 2021 : | 40 % | soit un ratio de 2 apprentis sur 5 |
Taux de poursuite de formation en 2020 : | 25 % | soit un ratio de 1 apprenti sur 4 |
Taux de poursuite de formation en 2019 : | 25 % | soit un ratio de 1 apprenti sur 4 |
Taux de rupture brut : Taux d’apprentis ayant rompu leur contrat avant la date de fin prévue. Taux de rupture net : Taux d’apprentis ayant rompu leur contrat sans avoir obtenu leur diplôme et ne reprenant pas un contrat d’alternance en moins de 180 jours après la rupture pour la période de janvier à décembre.
Ruptures nettes 2022 | 5 % | soit un ratio de 1 apprenti sur 20 |
Ruptures brutes 2022 | 10 % | soit un ratio de 2 apprenti sur 20 |
Ruptures nettes 2021 | 5 % | soit un ratio de 1 apprenti sur 20 |
Ruptures brutes 2021 | 5 % | soit un ratio de 1 apprentis sur 20 |
Ruptures nettes 2020 | 6,25 % | soit un ratio de 1 apprenti sur 16 |
Ruptures brutes 2020 | 12,5 % | soit un ratio de 2 apprentis sur 16 |
Coût de la formation (pris en charge par l’opérateur de compétences concerné) : 8 983 €*
*montant correspondant à une moyenne des Niveaux de Prise En Charge par les différents OpCo
Les réseaux de l’A.N.F.A. de CFA Pilotes et Associés accompagnent et favorisent le développement qualitatif et quantitatif de l’apprentissage.
L'alternance, la voie par excellence
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